Oran, une Ville, une Vie
Oran, Une Ville, une Vie,
Où l'on Croyait passer
Tous les jours de notre vie
Sans jamais se lasser.
Mais, il a fallut partir,
laissant là-bas les souvenirs
De notre enfance
De notre ascendance.
Laissant enfouis sous terre,
les aieux de nos mères et pères
Dans leur terre natale
D'une nation qui fût leur idéal
Adieu, mon copain d'enfance,
Adieu, les jeux, l'insouciance,
Adieu, à nos processions
Adieu, à nos illusions
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